Comment fonctionnent les garanties des titres et cautions bancaires ?

Les garanties des titres et cautions bancaires est une disposition dont le principe est défini dans la loi n°96-597 du 2 juillet 1996 relative aux actions financières, à l’épargne et à la sécurité financière. Cette disposition a été mise en œuvre selon la loi n°99-532 du 25 juin 1999. A travers toute la France, ce sont tous les établissements bancaires qui y adhèrent, à peu près 350 aujourd’hui, étant donné que c’est une condition obligatoire à remplir pour chacun d’entre eux.

Pourquoi faut-il des garanties pour les titres et cautions bancaires ?

Suite à de sombres affaires qui ont causé la ruine d’un bon nombre d’investisseurs, la loi sus citée a été mise en place dans le but de les protéger contre d’éventuelles défaillances de leur prestataire. En effet, pour différentes raisons, il peut arriver que ce dernier soit en faillite. Par conséquent, sa mauvaise situation financière fait qu’il se trouve dans l’incapacité de restituer les titres et les cautions bancaires à leurs clients. Dans d’autres cas, le prestataire s’avère avoir un comportement délictueux ou utilise d’une manière tout à fait illicite les titres et cautions bancaires de sa clientèle, ce qui a pour résultat l’indisponibilité de ceux-ci. Les garanties des titres et cautions bancaires permettent ainsi aux investisseurs de continuer à mettre leur confiance dans le système financier malgré le risque de problèmes.

Ce que couvrent les garanties des titres et cautions bancaires

Les garanties des titres et cautions bancaires peuvent s’élever à 70.000 euros par personne et par établissement.

Plus précisément, la terminologie «garanties » couvre les titres et cautions ainsi que les espèces associées aux comptes titres du client. L’APCR est le seul organisme habilité à évaluer exactement la valeur des titres et cautions pouvant être indemnisés.

AFG : renforcement de l’épargne en France

L’AFG ou l’Association française de la gestion financière spécifie que l’épargne retraite française se doit d’évoluer. Le renforcement et les réformes de l’épargne retraite s’avèrent indispensables dans le contexte actuel selon l’AFG qui propose différents procédés pour ce faire.

Au mois de janvier de cette année, AFG a publié deux documents, le premier, un communiqué de presse le 10 de ce mois et le second, un livre, le Livre Blanc « Epargne retraite » concernant les dispositifs existants sur l’épargne retraite et ce qu’il faut faire pour les rénover et les mettre à jour.

Les raisons du renforcement de l’épargne retraite

Diverses raisons requièrent le renforcement de l’épargne retraite en France, telle que la volonté d’apporter un mieux dans le niveau de vie des retraités ainsi que l’allongement de l’espérance de vie moyenne des français. Les dispositifs actuels seront l’objet de différentes améliorations afin que l’épargne soit sur une plus longue durée, proportionnée aux projets et intéressante pour le plus de personnes possibles. Le but principal étant d’encourager en particulier la jeune génération à épargner.

Les mesures de renforcement de l’épargne retraite en France

La première démarche serait de donner des informations plus explicites sur l’épargne retraite à l’ensemble de la population.

L’âge d’information serait désormais de 30 ans au lieu de 35 et l’âge de  simulation passerait de 55 à 45 ans. Ensuite, il s’agit d’informer les français sur les différents moyens à leur disposition pour compléter les régimes par répartition. Après cela, il importe de mettre en place un nouveau produit personnalisé adressé au grand public avec possibilité de sortie en capital. Puis, il faudra travailler au développement de l’épargne retraite d’entreprise dont le Perco. Celui-ci serait encouragé en faisant en sorte de diminuer considérablement et le cas échéant, effacer totalement le forfait social.

Le départ en retraite à 62 ans

A l’origine, l’âge légal de départ à la retraite allait passer progressivement de 60 à 62 ans à partir du mois de juillet 2011 jusqu’au mois de décembre 2018. Une accélération du rythme de la reforme a été marquée pour avancer la date au mois de décembre 2017, en admettant la possibilité de partir dès 60 ans.

Un aperçu sur les âges légaux de départ à retraite

L’on a déterminé 3 âges légaux de départ à la retraite soit à 62 ans, à 67 ans et à 70 ans. En tout cas, il demeure possible de partir avant 60 ans si l’individu a intégré très jeune le marché du travail.  L’âge minimum de départ à la retraite dépend de la date de naissance de l’individu. Selon la réforme, s’il est né avant le 1er juillet 1951, il peut partir à l’âge de 60 ans. Cet âge de départ à la retraite s’accroît au fur et à mesure que la date de naissance avance jusqu’à 1955 où cet âge est de 62 ans. Cependant, le droit à la retraite de base à taux plein et à la retraite complémentaire sans minoration est conditionné également de la  durée des cotisations. A noter que les âges légaux de départ à retraite varient aussi selon les régimes, selon les statuts (fonction publiques ou privée), etc. En ce qui concerne la retraite à 67 ans, ce qui était à 65 ans avant la réforme de 2010,  le salarié peut partir  même s’il n’a pas atteint le nombre de trimestres nécessaires, mais avec une pension de retraite proportionnelle.  Quant à la retraite à 70ans, le salarié est mis en retraite d’office et contre son gré par son employeur qui lui adresse un préavis légal.

Le départ à la retraite s’approche de 62 ans d’âge

Depuis la mise en œuvre de la réforme de 2010, le recul de l’âge de départ à la retraite est constaté aussi bien que le nombre de pensionnés concernés. A noter qu’une année suivant la date de réforme, l’âge de départ à la retraite se trouvait à 61 ans 11 mois. En 2017, cet âge est très proche de 62 ans avec une chute du nombre de nouveaux retraités.

Réforme des retraites : Macron va-t-il tenir sa promesse ?

Emmanuel Macron avant et après son élection a promis de s’occuper de la France, de la transformer, et cela à réjouit les Français bien sûr. C’est ce qui les a poussés à voter pour lui. Les promesses qui ont attiré et charmés le peuple français sont assez nombreuses.

Parlons en particulier en ce qui concerne la réforme des retraites. Le Président de la République française a délégué au haut-commissaire la mission très importante de s’occuper des retraites, donc pour cette année 2018 on attend ce qui va bouger par rapport à la réforme des retraites.

Qu’est-ce qu’Emmanuel Macron a promis pour la réforme des retraites ?

Le Président a promis au peuple français que la retraite sera meilleure et pareille pour toute.

En effet, Macron avait proposé que la retraite soit pareille pour tous. Donc peu importe le poste que nous occupons aujourd’hui ou que nous avons eu auparavant, par exemple si nous étions cheminots, fonctionnaire ou autre, nous savons que nous aurons une bonne retraite si et seulement si Macron tient sa promesse. Il y aura tout de même certaines choses qui ne changeront jamais comme l’âge de départ à la retraite qui, pour le moment est fixé à 62 ans. Peut-être que d’ici peu cet âge sera revisité.

Réforme des retraites : va-t-il tenir sa promesse ?

Le comité d’orientation des retraites pense sincèrement que Macron ne va pas réussir à tenir sa promesse concernant la réforme des retraites. Pourquoi cela ? Il faut dire qu’il a tenu pas mal de promesses, comme par exemple réformer la fiscalité, le droit du travail, ou encore s’occuper de l’Éducation nationale et à tout cela s’ajoute donc la réforme des retraites. Sera-t-il vraiment possible pour le Président de réaliser tous ces projets, ces promesses ? Cela reste à voir…

Fiscalité des géants du web, le gouvernement français ne reculera pas

Qu’est-ce que les gens ne feraient pas pour réduire leurs impôts… Les géants du web comme Google, Amazon, Apple ou Facebook investissent dans l’optimisation fiscale et ce dans le but de payer moins d’impôts.

Que font-ils au juste? Ces géants du Web ont mis en place des formations pour un très grand nombre de personnes dans le but de les aider à avoir un emploi ou à créer des emplois dans le secteur des réseaux sociaux ainsi que dans l’intelligence artificielle. C’est très généreux de leur part, mais ils semblent qu’ils font toute cette mascarade pour échapper aux impôts. Mais le gouvernement français ne se laisse pas avoir.

Les géants du web et le fisc

Le secrétaire d’État au numérique, Mounir Mahjoubi, a déclaré que les grands groupes du Web font un très beau geste en investissant beaucoup d’argent dans la formation de ces personnes pour l’emploi dans le digital et le numérique. Mais il n’empêche qu’ils doivent tout de même déclarer leurs impôts comme tout le monde et ne pas fuir. Il semble en effet que certains de ces groupes du web préfèrent déclarer leurs revenus en Irlande par exemple, où le taux des impôts est très bas. Mais justement, à ce propos, Mounir Mahjoubi assure que le gouvernement français ne se laissera pas marcher sur les pieds, et qu’une rapport avec la fiscalité, ces géants du web devront y passer coûte que coûte même s’ils ont investi ou non pour les formations.

Les géants du Web taxés

Malgré tout ce qu’ils font pour y échapper, le gouvernement ne les lâche pas d’une semelle. En effet, les géants du web sont taxés et priés de déclarer leurs impôts. Il n’empêche que le gouvernement français commence sérieusement à en avoir assez de cette situation…

Assurance habitation : il est temps de revoir votre assurance face aux catastrophes naturelles

L’année 2017 a été remplie de très nombreuses catastrophes naturelles. Au Texas, en Californie, en France, au Japon…

Des quatre coins du monde, il y a eu toutes sortes de catastrophes naturelles comme des ouragans, des cyclones, de fortes tempêtes, des inondations ou autres qui ont ravagé des villes, démoli des maisons et tué des centaines de gens. Il est donc très important de se préparer aux catastrophes naturelles, notamment en revoyant notre assurance habitation. A la limite, nous pouvons espérer une réparation de notre logement si nous sommes victimes de catastrophes. 

Assurance habitation : bénéficier d’un remboursement

Les victimes de catastrophe naturelle peuvent se retrouver sans rien, plus de maison, plus aucune affaire, plus de voiture. Le plus important en effet est d’avoir la vie sauve, ainsi que d’avoir ses proches à ses côtés sains et saufs. Mais avec l’assurance habitation, on pourra bénéficier d’un remboursement pour la reconstruction et la réparation de notre maison. Mais est-ce qu’il est vraiment obligé d’être assurés? Pas forcément. En effet, si nous sommes propriétaires et que vraiment nous habitons vraiment dans notre maison et surtout qu’elle ne soit pas en copropriété, nous pourrons éventuellement bénéficier d’une aide, d’un remboursement. Si toutefois nous sommes propriétaire mais que nous faisons louer notre maison ou notre appartement, il est indispensable de revoir notre assurance habitation.

Assurance habitation : est-ce suffisant ?

En fait, l’assurance habitation est déjà une étape importante pour se protéger des catastrophes naturelles. Mais ce n’est pas tout à fait suffisant. Il aura également fallu souscrire une garantie en prévention des catastrophes naturelles et pour pouvoir être indemnisé, il faut aussi que ce soit annoncé et reconnu officiellement que c’est un vrai séisme qui va arriver et dont il faut se protéger.

Vers une hausse des taux des prêts immobiliers en 2018 ?

Pour financer, en tout ou partie, votre construction de maison, vos travaux de réhabilitation d’immobilier ou votre nouvelle acquisition, le crédit immobilier est encore disponible avec tous les dispositifs qui peuvent vous rendre gagnant. Il en existe plusieurs types, et c’est à vous de choisir le crédit immobilier qui convient, que vous êtes un particulier, une entreprise ou une société civile de placement immobilier. 

Le taux d’intérêt du crédit immobilier qui prévaut en ce moment

A savoir tout d’abord  que l’emprunteur peut choisir l’échéance constante ou l’échéance variable pour rembourser le crédit immobilier. Il y a par conséquent l’application d’un taux d’intérêt fixe ou un taux d’intérêt variable. Tout  emprunteur doit être conscient de l’application du taux effectif global qui figure dans le contrat de crédit immobilier. En effet, c’est le taux qui inclut l’ensemble des frais relatifs au crédit. Il considère donc les intérêts, les assurances, les différentes commissions. L’établissement de crédit est le seul compétent pour fixer le taux d’intérêt du crédit immobilier qu’il propose, à la limite du taux maximal fixé par la Banque de France. En ce qui concerne le taux zéro, il s’agit d’un prêt aidé représentant une formule pour financer l’achat d’un premier bien immobilier destiné à une résidence principale. 

A quoi rime la hausse des taux d’intérêt en 2018 ?

A noter que le taux d’intérêt pour un crédit immobilier sur 10 ans est actuellement fixé aux environs de 2,11%, pour 15 ans le taux devient 2,31%, à 20 ans ça fait 2,63% et respectivement 3,13 et 3,69% pour une période de 25 et 30 ans. Ces taux sont à titre indicatifs, car certains établissements de crédits peuvent descendre  ou monter selon le cas. Quoi qu’il en soit, dans les coulisses, une évolution haussière des taux est prévue pour 2018. Pire, ce sont les clients les plus rentables qui sont choisis, si le contexte socio-économique actuel persiste, alors que les banques risquent une baisse de rentabilité. Plusieurs en sont les causes.