La CSG dite la contribution sociale généralisée n’est autre qu’une forme de l’impôt dont le consensus n’est pas admis sauf exception prévue par la loi. A noter que tous les revenus sont prélevés à la source depuis l’instauration de la CSG, même les pensions de retraite des personnes du 3ème âge. Avant 1991 où ce type de contribution a été institué, seulement les revenus du travail étaient concernés par le prélèvement destiné à la sécurité sociale.
Les caractéristiques et l’évolution de la CSG
La hausse de la CSG en perspective, qui en subit la conséquence négative ?
Le gouvernement actuel met à exécution l’augmentation de la CSG avec 1,7 point en sus, sauf pour le cas des retraités et des chômeurs classés les plus modestes. Parallèlement, il est prévu de supprimer les cotisations salariales destinées à l’assurance maladie et au chômage, afin de stabiliser le pouvoir d’achat des salariés. A cet effet, il semble que l’augmentation de la CSG ne sera pas compensée à l’endroit d’un certain nombre des retraités et des chômeurs, et par voie de conséquence, leur pouvoir d’achat va être réduit. Il semble alors qu’au moins 60% des retraités sont les grands perdants dans cette augmentation du taux de la CSG dont ils subissent car leurs pensions de retraite se trouvent au-delà de 1400€, et environ 25€ supplémentaires de prélèvement mensuel. L’essentiel pour le gouvernement en place est de gagner en 2018 quelques 22 milliards d’euros supplémentaires provenant de la CSG, la retraite en est une autre paire de manche.